dictionnaire copywriter 18 termes

Il y a 2 semaines, je vous proposais un dictionnaire du copywriter.

Pour vous aider à mieux intégrer tous ces termes “barbares” que vous rencontrez peut-être souvent.

Entre anglicismes, mots-valises et néologismes : pas toujours facile de s’y retrouver…

Et de comprendre ce que tous ces mots désignent !

Vous vous en doutez… je n’en ai pas terminé avec cette liste ! Je vous ai promis 18 termes issus du “dictionnaire” du copywriter, voici donc les 9 derniers ! ⬇️

INFOPRENEUR

Pour commencer ce dictionnaire, je vais vous parler d’infopreneur…

Ce terme vous parle ? Ou pas du tout ? 🧐

Avez-vous déjà entendu quelqu’un vous annoncer qu’il était “infopreneur” ?

Mais qu’est-ce que c’est au juste ? 

Déjà, le mot “infopreneur” est ce qu’on appelle un “mot-valise”.

C’est-à-dire qu’il est le résultat de la contraction de deux mots existants : information et entrepreneur.

Un infopreneur, c’est quelqu’un qui vend de l’information en ligne.

Il peut vendre des formations (dans divers domaines), mais aussi des eBook ou encore des logiciels.

Un exemple d’infopreneur ?

J’en ai un tout trouvé… 😊

Robert est lui-même infopreneur !

Eh oui, puisqu’il propose un accompagnement en ligne qui vous permet de devenir copywriter en 3 mois (oui oui, et si vous voulez en savoir davantage sur cet accompagnement, vous pouvez cliquer sur ce lien)

KPI

Continuons ce dictionnaire du copywriter avec KPI. Cet acronyme ne vous parle pas ?

➡️ “Key Performance Indicator

Comprenez les indicateurs clé de performance.

OK, mais ça veut dire quoi ?

Les KPI sont des données utilisées pour mesurer la réalisation d’un objectif.

Voici quelques exemples d’indicateurs clé de performance (aussi abrévié “ICP”).

TAUX D’OUVERTURE

Le taux d’ouverture concerne les e-mails.

C’est une donnée qui se calcule très facilement.

Prenons un exemple.

Vous envoyez un e-mail à 100 personnes.

Sur ces 100 personnes, 50 personnes ouvrent votre e-mail.

Les 50 autres ne l’ouvrent pas.

Eh bien, votre taux d’ouverture est de 50 %.

Facile, n‘est-ce pas ? 😉

chien trier courrier

TAUX DE CLIC

Le taux de clic est lié aux liens que vous insérez dans vos e-mails.

Prenons un exemple :

Vous envoyez un e-mail avec un lien vers votre blog (ou votre profil LinkedIn, ou que sais-je encore).

Le taux de clic vous permet de savoir quel pourcentage des personnes ayant reçu et ouvert votre e-mail a cliqué sur votre lien.

Si vous aimez les maths, voici la formule à appliquer pour calculer le taux de clic :

(Le nombre de clics ÷ le nombre d’e-mails délivrés) x 100.

Un bon taux de clic se situe généralement aux alentours des 2 ou 3 %.

Cela signifie que si vous envoyez un même e-mail à 100 personnes.

Et que 2 personnes cliquent sur votre lien : c’est déjà pas mal !

Ça peut paraître peu, mais l’engagement en terme d’e-mailing est très difficile à obtenir !

Vous cliquez toujours sur les liens insérés dans les e-mails que vous recevez, vous ?

Personnellement, ça m’arrive très rarement, et c’est normal !

TAUX DE CONVERSION

Aussi appelé “taux de transformation”, le taux de conversion correspond au pourcentage de prospects qui vont acheter une solution, par rapport au nombre de prospects touchés.

Euh, quoi ? 😵

Un exemple, ça vous dit ?

Admettons que vous avez une page web, où vous proposez aux gens d’acheter votre confiture faite maison (aux fraises, miam 🍓).

Imaginons que votre page web est vue par 100 personnes.

Sur ces 100 personnes, 10 achètent votre confiture (bravo à vous 🥳).

Alors votre taux de conversion (ou de transformation) est de 10 %.

C’est plus clair pour vous ?

Si vous aimez (toujours) les maths, la formule à effectuer est la suivante :

(Le nombre de clients ÷ Le nombre de visiteurs) x 100.

À titre informatif, le taux de conversion moyen des sites e-commerce en France est de 2 % (sur 100 prospects, 2 ont choisi de faire un achat).

Encore une fois ça peut paraître peu, mais si votre site est visité par des centaines de milliers de personnes chaque jour… Ça n’est pas rien ! 😉

MAILING LISTE

Pour continuer dans ce dictionnaire du copywriter, je vais vous parler de mailing liste.

Ce terme doit vous parler, non ?

La mailing liste, c’est tout simplement la liste de tous les e-mails que vous avez dans votre liste de contacts.

Alors, non, je ne parle pas de votre liste de contacts à vous, personnellement, sur votre adresse mail Orange ou Yahoo. Qui contient les mails de vos amis, ou de votre banquier.

En général, on parle de “mailing liste” lorsqu’on est un professionnel.

Par exemple, quand vous recevez un e-mail de la part de votre marque de produits de beauté favorite…

Vous faites partie de sa “mailing liste”.

➡️ Soit parce que vous avez déjà acheté un produit chez eux…

➡️ Soit parce que vous avez montré de l’intérêt pour cette marque et que vous leur avez laissé votre adresse mail.

La plupart du temps, les adresses e-mail sont récoltées via l’un ou l’autre de ces procédés.

Imaginons que vous soyez une marque qui vend des jouets en ligne.

Comment pouvez-vous récolter l’adresse e-mail des personnes qui sont votre cible ?

Solution n°1 : les adresses e-mail viennent à vous automatiquement.

Via les personnes qui achètent sur votre site web.

Vous le savez bien : de nos jours, il est impossible d’acheter quoi que ce soit sur internet sans donner son adresse mail.

Et son NOM, et son Prénom, et son numéro de téléphone, et son adresse (c’est mieux pour la livraison me direz-vous).

Solution n°2 : vous proposez un contenu gratuit et instructif en échange de l’adresse mail de votre prospect.

Que ce soit un document PDF, une vidéo, un code promo… il faut savoir attirer vos prospects, leur donner envie d’obtenir ce “cadeau” 🎁
Vous pouvez ensuite leur demander leur adresse e-mail : le cadeau leur sera envoyé par mail.
Bingo ! Vous avez réussi à obtenir l’adresse e-mail d’une personne qui n’a encore jamais acheté chez vous.

Deapool bravo clap hands taper mains félicitations

NEWSLETTER

Ce mot-là, vous devez le connaître, non ?

Des newsletters, on en reçoit tous et toutes !

Un newsletter, c’est tout simplement un e-mail que vous recevez de la part d’une marque, d’une entreprise, d’une association, d’un organisme culturel, etc… 

Que contiennent les e-mails de newsletter ?

En général, on distingue 2 types de newsletter :

  • la newsletter dite “informative : dans ces e-mails, on ne vous vend rien.

Au contraire, on vous propose du contenu gratuit : un document PDF à télécharger, une vidéo sur YouTube, un information primordiale, etc…

La newsletter “informative” peut aussi servir à créer du lien avec les prospects. Ça paraît logique quand on y réfléchit… C’est toujours plus sympa de recevoir de temps en temps des e-mails qui ne nous poussent pas à acheter !

  • la newsletter dite “commerciale : dans ces e-mails, on vous incite à faire l’achat d’une solution (un parfum, une tondeuse à gazon, un eBook, une formation en ligne, un massage dans un spa près de chez vous…)

Vous devez recevoir régulièrement des newsletters commerciales : et c’est normal !

Ce type d’e-mail fonctionne très bien, car ils arrivent en général au bon moment…

Le bon moment, c’est quoi ?

Eh oui, vous vous en doutez : le bon moment, c’est quand le prospect a été suffisamment en contact avec la marque pour avoir confiance en elle.

Il connaît la marque, il sait ce qu’elle vaut, il comprend qu’elle peut lui correspondre…

C’est à ce moment-là qu’il envisagera un achat, mais pas avant !

PAGE DE VENTES

Vous nous entendez sûrement parler de “page de ventes” très souvent chez Red de Redac.

Mais c’est quoi au juste une page de ventes ? 🤔

C’est une page qui se trouve sur un site web et qui fait la promotion d’un produit, d’un service ou d’une formation.

En général, on rédige une page de ventes pour un produit relativement onéreux.

Par exemple, vous ne verrez jamais une page de vente pour des chaussettes ! 🧦

Dans ce cas-là, on se contente d’une fiche produit, qui présente la paire de chaussettes en question.

Pas besoin de dédier une page entière à ce produit. Pas besoin d’écrire tout un laïus sur un vêtement aussi basique qu’une paire de chaussettes.

Vous voyez ce que je veux dire ? 

Vous voulez peut-être un exemple de page de ventes ?

J’en ai un tout trouvé : voici la page de vente que Robert a rédigé pour faire la promotion du programme COPY-LOT ⭐️

Je vous rassure tout de suite : toutes les pages de ventes ne sont pas aussi fournies que celle de Robert.

Mais cette longueur s’explique très bien ici : Robert est copywriter. Son métier consiste à séduire et convaincre avec les mots

Alors si la page de ventes faisait 12 lignes, les prospects se diraient : “il ne s’est pas foulé celui-là !”.

Et ils auraient raison ! 😁

Autre particularité d’une page de ventes : bien souvent, les pages de ventes ne comportent pas de barre de menu en haut de page.

Vous savez, ces boutons en haut de la page web qui vous permettent d’aller cliquer sur les onglets “À propos” ou “Contact” ?

Mais alors : pourquoi ne retrouve-t-on pas cette barre de menu en haut d’une page de ventes ?

Tout simplement parce que l’objectif est que le lecteur s’intéresse à la page de vente. Il faut qu’il puisse rester concentré sur sa lecture. Bref : qu’il n’ait pas envie d’aller voir ailleurs.

The Simpsons Lenny concentré focused

Pour finir, si vous ne connaissez pas le terme “page de ventes” aujourd’hui, c’est plutôt normal. C’est un terme surtout connu des infopreneurs et des copywriters bien sûr.

Mais si demain vous désirez devenir copywriter, la page de ventes n’aura plus aucun secret pour vous… 😉

PROSPECT

Ah… le fameux prospect

J’espère que ce mot vous parle, au moins un peu, car je l’utilise très régulièrement dans les articles présents sur ce blog ! 😬

Bon alors : un prospect, c’est quoi ?

C’est qui, plutôt ? 🤔

Un prospect, c’est une personne qui peut potentiellement devenir cliente pour une marque, une entreprise, etc…

Un exemple concret, ça vous dit ? ⬇️

Par exemple, une personne qui se rend souvent sur un même site internet e-commerce qui vend des chaussures.

Mais qui n’a encore jamais acheté de chaussures sur ce site web (pour X ou Y raison).

C’est un prospect pour cette marque de chaussures.

Parce que c’est une personne qui connaît la marque, qui sait ce qu’elle propose…

Qui a été en contact avec elle en se rendant sur le site web (et peut-être sur les réseaux sociaux de la marque)…

Qui reçoit peut-être la newsletter rédigée par la marque…

Vous voyez un peu ?

Alors cette fameuse marque de chaussures fictives fera tout pour transformer ce prospect en client. Car la frontière entre les deux est parfois très fine.

Et il suffit de trouver le bon moment pour faire basculer le prospect du côté client de la force (référence à Star Wars, si vous ne l’avez pas, c’est OK 😁)

Yoda jedi force Star Wars

TUNNEL DE VENTE

Aussi appelé entonnoir de vente, pipeline de vente ou encore tunnel de conversion, le tunnel de vente : qu’est-ce que c’est ?

Si on schématise grossièrement, un tunnel de vente, ce sont les étapes par lesquelles va passer un client, du stade prospect jusqu’au stade de l’achat.

Autrement dit, un tunnel de vente, ce sont toutes les actions mises en place pour qu’un prospect suive un chemin balisé jusqu’à devenir client.

L’objectif du tunnel de vente (vous vous en doutez un peu) : faire vendre.

Les différentes étapes du tunnel de vente :

Étape 1 : comprendre à qui on s’adresse > l’avatar client

Nous l’avons vu dans l’article de blog posté précédemment : sans avatar client, impossible d’avoir un message percutant. Car si on essaie de s’adresse à tout le monde, on finit par s’adresser à personne…

Étape 2 : faire connaître la solution au prospect > création d’une landing page (ou page d’arrivée)

Cette page a pour simple objectif de donner au prospect toutes les informations dont il a besoin pour se décider à passer à l’achat. Il faut le séduire, lui parler des bénéfices qu’il va pouvoir tirer de cet achat, lui montrer que cette solution est faite pour lui.

Étape 3 : inciter à l’achat > le bouton vers le bon de commande

Si l’étape 1 et l’étape 2 sont bien respectée et qu’elles ont été faites consciencieusement, les ventes devraient arriver “toutes seules” (enfin, façon de parler…). Le prospect a donc suivi tout le processus du tunnel de ventes, il est maintenant “client”. Mission accomplie ! 💪🏼

WEBINAIRE

Enfin, terminons ce dictionnaire du copywriter avec le webinaire.

Ça vous parle ?

J’espère que oui, car je vous ai rédigé un article spécialement sur ce sujet 😉

Je ne m’étendrai pas davantage sur le webinaire, mais je vous invite grandement à consulter cet article si vous désirez en savoir plus sur les webinaires

Ce n’est pas de la fainéantise, c’est du recyclage 😁

Cet article vous a été utile ?

Vous aimeriez en savoir plus sur le copywriting ?

Dans ce cas, découvrez RED de REDAC, l’organisme de formation qui aide les belles plumes à vivre de leur Super Pouvoir.

Vous avez des questions ? Laissez-nous un commentaire ⬇️

Et si vous pensez que cet article peut aider d’autres personnes, partagez-le sur les réseaux sociaux pour le diffuser plus largement ! 😃

À très vite pour d’autres contenus 100 % copywriting !

Coraline

RED de REDAC



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